Ancien élève de l'option Cinéma-Audiovisuel (2009-11) Thomas Simonin poursuit son évolution dans le monde de l’écriture littéraire et scénaristique. À 23 ans, il a déjà publié deux ouvrages et n’entend pas s’arrêter en si bon chemin.
« Mon but premier est d'écrire mais j'aimerais également réaliser. J’ai commencé à écrire des poèmes au lycée Alain-Colas à Nevers, qui propose de nombreuses options autour de différents types d’art », se souvient-il.
Le déclic viendra de là.
Une formation chez Luc Besson
Très vite, il a élargi sa palette artistique en se tournant vers le cinéma. « C’est en visionnant un nombre considérable de films que j’ai eu envie de me tourner vers le scénario. » Pour cela, il tente sa chance à l’école de la Cité, ouverte par Luc Besson. Cette dernière retient sa candidature dans la spécialité auteur/scénariste. Après une année de formation, son envie de poursuivre dans cette voie s’est ancrée dans son esprit. « J’espère bien évidemment obtenir mon diplôme l’an prochain, note-t-il. Mais en attendant, je travaille sur de nombreux projets. Je suis en train de finaliser l’écriture d’un nouveau court-métrage, mais je travaille aussi sur une série qui s’articulera autour d’un drame familial avec un côté fantastique. »
Thomas défend également son dernier recueil de texte, Angeli Doloris, qui compile plusieurs années de pensées couchées sur le papier. « C’est le deuxième livre que je publie, le premier étant une fiction dans laquelle je ne me retrouve plus vraiment aujourd’hui. Angeli Doloris regroupe les interrogations d’un jeune adulte sur des sujets très variés. »
Boulimique de travail, le jeune auteur prépare une suite à ce bouquin, qu’il considère d’ores et déjà comme plus ouverte et plus mature. En parallèle, il a entamé la rédaction d’une nouvelle. « Aujourd’hui, je fais les choses comme je les sens. Mon but premier est d’écrire, mais j’aimerais également réaliser. » L’avenir est devant lui. Nous sommes très fiers de lui. (Propos recueillis dans le Journal de Saône et Loire par le journaliste Yves Gauthier)